Vendredi 26 Février 2010, nous voilà arrivés à Siem Reap, à quelques minutes de tuk tuk des temples d'Angkor, au Cambodge. Si l'on m'avait dit que je passerai par le Cambodge un jour.
Petit trip au Cambodge
Comme depuis le début de notre aventure, nous avons fait un mix entre ce que nous avions envie de faire et nos rencontres. En l'occurrence, Romain se dirige progressivement vers la Chine pour prendre son train qui lui permettra de traverser la Russie. Toujours est-il que son trip passe par le Cambodge. Et nous avions nous aussi envie de voir le temple d'Angkor Wat. L'opportunité de s'y rendre n'étant pas donnée tous les jours nous n'avons donc pas beaucoup hésité.
Contraste évident avec la Thaïlande
Après avoir passé 5 h dans un mini bus où l'on avait à peine de quoi mettre ses jambes... Après avoir surtout passé une nuit blanche vu le bruit de Khaosan Road la veille, nous arrivons enfin à la frontière du Cambodge. Dès les premiers instants on s'aperçoit que le pays est vraiment pauvre. Ceux qui sont allé en Inde comprendront. Je pense que c'est un avant goût qui y prépare bien (car je compte y aller aussi un jour). Des cabanes peuplent le bord de la route, qui est d'ailleurs infiniment droite. Nous avons passé 2 h a rouler tout droit sans un seul virage jusqu'à Siem Reap. On croise aussi les vaches sacrées qui vont et viennent où bon leur semble. Plus que dépaysant c'est une petite claque pour ma part car je crois que c'est le pays le plus pauvre que j'ai jamais visité.
Un passé colonial encore présent au Cambodge
Nous arrivons enfin à l'hôtel "Home Sweet Home" vers 17h (soit 10h de route quand même, passage de frontière comprise). Nous payons notre chambre pour 3, 3 $ chacun. Ce qui comprend un lit double par personne, une salle de bain privée et une chambre immense. Pour un début c'est pas trop mal. Dans la ville que nous avons un peu visité ce soir, on sent le passé colonial et l'emprunte française. Les locaux parlent quelques mots (bonjour monsieur, merci, c'est 10 000 riels), les hôtels portent des noms français tout comme les restaurants. Cela n'enlève rien au contraste des palaces qui côtoient les bidonvilles.
Petit trip au Cambodge
Comme depuis le début de notre aventure, nous avons fait un mix entre ce que nous avions envie de faire et nos rencontres. En l'occurrence, Romain se dirige progressivement vers la Chine pour prendre son train qui lui permettra de traverser la Russie. Toujours est-il que son trip passe par le Cambodge. Et nous avions nous aussi envie de voir le temple d'Angkor Wat. L'opportunité de s'y rendre n'étant pas donnée tous les jours nous n'avons donc pas beaucoup hésité.
Contraste évident avec la Thaïlande
Après avoir passé 5 h dans un mini bus où l'on avait à peine de quoi mettre ses jambes... Après avoir surtout passé une nuit blanche vu le bruit de Khaosan Road la veille, nous arrivons enfin à la frontière du Cambodge. Dès les premiers instants on s'aperçoit que le pays est vraiment pauvre. Ceux qui sont allé en Inde comprendront. Je pense que c'est un avant goût qui y prépare bien (car je compte y aller aussi un jour). Des cabanes peuplent le bord de la route, qui est d'ailleurs infiniment droite. Nous avons passé 2 h a rouler tout droit sans un seul virage jusqu'à Siem Reap. On croise aussi les vaches sacrées qui vont et viennent où bon leur semble. Plus que dépaysant c'est une petite claque pour ma part car je crois que c'est le pays le plus pauvre que j'ai jamais visité.
Un passé colonial encore présent au Cambodge
Nous arrivons enfin à l'hôtel "Home Sweet Home" vers 17h (soit 10h de route quand même, passage de frontière comprise). Nous payons notre chambre pour 3, 3 $ chacun. Ce qui comprend un lit double par personne, une salle de bain privée et une chambre immense. Pour un début c'est pas trop mal. Dans la ville que nous avons un peu visité ce soir, on sent le passé colonial et l'emprunte française. Les locaux parlent quelques mots (bonjour monsieur, merci, c'est 10 000 riels), les hôtels portent des noms français tout comme les restaurants. Cela n'enlève rien au contraste des palaces qui côtoient les bidonvilles.