Premieres impressions positives du woofing

Et voilà, nous voici enfin arrivé à la ferme des Woodley, dans le bonbush australien. La ville la plus proche, Wyong doit être à peu près à une dizaine de kilomètres au moins. Au tant dire que c'est la campagne. Déjà à Wyong il ne doit pas y avoir plus de 5 000 habitants. Même si c'est déjà correct pour un village en Australie à mon avis.

Stephen, notre hôte est venu nous chercher à la gare, malgré notre retard car on s'était trompé de quai (je dois avoir un problème avec les gares). Directement on a eu un bon contact avec lui. C'est un mec comme nous, qui après avoir fait des études et bossé dans le marketing a préféré partir à la campagne avec sa femme Frauke (d'origine allemande).

Sa propriété s'étend sur 50 hectares, ce qu iest plutôt pas mal pour les français mais rien comparé à certaines fermes australiennes qui peuvent faire la taille de la Belgique (si, si). Il a racheté cette étendu voici deux ans
pour environ 600 000 euros d'après ce qu'il nous a dit.

Car on a déjà bien eu le temps de discuter avec l'ami australien. D'ailleurs, je suis assez surpris mais on communique plutot bien avec lui. Evidemment on fait encore de grosses fautes de grammaire mais on a déjà eu l'occasion de se raconter nos voyages et de rigoler ensemble. Car ici, on commence par boire quelques bières, le temps que le soleil descende (il faisait 33° quand il est venu nous chercher).
Viennent les premières labeures. Une bonne heure à dégager des troncs d'arbres que Stephen vient de couper. Pas compliqué, il suffit de faire attention à ce qu'ils ne nous tombent pas sur la poire. Demain matin ca risque d'être la même. A première vue Stephen vend du bois, élève des cheveaux, quelques vaches, lamas et chèvres. Dans ses bois, on peut aussi trouver serpents, araignées, cerfs, perroquets... Bref l'Australie quoi.

Aller, à la douche.
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